L’homme a peur. Quand il maîtrise enfin son environnement, il a peur de la femme. Il organise la langue, circonscrit la femme. Le voici en position de souffler les réponses, d’organiser la femme, de juguler la peur. Il y trouve une illusoire sécurité car, en dernier lieu, la femme est plus intelligente. Pour elle, il est toujours trop tard, elle ne peut rien sans lui. Pour lui, il tient la position au prix de sa vie (qui comme chacun sait, est plus courte que celle de la femme.)