La constance

La con­stance, étrange qual­ité qui dénote l’obéis­sance, l’im­bé­cil­lité ou le volon­tarisme. Dans le pre­mier cas le fidèle s’ac­com­plit en Dieu et s’épuise en tant que créa­ture ou se sac­ri­fie à une principe supérieur, en général poli­tique. Dans le sec­ond la nature informe et pour­voit. Pour le volon­tariste, c’est un peu la théorie de la grâce protes­tante: faute d’y attein­dre, on se déter­mine de façon arbi­traire et on tient le cap.