A quatre heures, après avoir mangé des patates, de la semoule, de la salade, des saucisses, des palourdes, bu du vin et du feu, je me suis endormi sous le soleil. Le pont du bateau était cloué de planches. Je me suis demandé de quoi était fait la coque, mais le sommeil m’a pris. Nous naviguions sur un lac minuscule près de Navalperral et je ne doutais pas que ce lieu fut celui que Dieu nomme le labyrinthe muré.