Le gouvernement d’Ethiopie vend des centaines de milliers d’hectares de terre agricole à un entrepreneur indien. Un signature aliène les terres pour un siècle. Le contrepartie? L’entrepreneur s’engage à réduire le chômage en région. Il apporte des bulldozers, des tracteurs et des remorques d’engrais, des avions de surveillance, des pipe-lines et des serres. Son but: devenir le premier producteur mondial de roses d’ici à cinq ans. Le film montre ensuite les ouvriers de la multinationale au travail. Le soc de labour creuse des sillons dans un plaine qui n’a jamais été cultivée. Comme dit l’Indien, le dernier à avoir posé les pieds ici, c’est Dieu. Le gouvernement lorsqu’il donne des terres ne tien pas compte des gens qui y vivent. Le film montre un village. Devant un hutte une femme en seins pile le millet dans un pétrin de bois, une cruche d’eau rafistolée chauffe sur un feu de bois. Les enfants ressemblent à des pépites de charbon. L’Indien remonte dans son avion et ouvre son iPad: nous allons réussir. Regardez la cote de notre société sur Bloomberg.com, vous verrez que nos actionnaires nous font confiance.