Retrou­ver une forme d’é­goïsme, d’in­térêt pour soi, pour la place unique de son être. Pas une expo­si­tion des atours du moi, une con­fronta­tion sans témoin. La fausse empathie avec des hommes dont l’in­for­ma­tion nous con­te les mal­heurs étouffe nos éner­gies, nous déchire et nous dis­perse. Nous savons tous de ces autres qui sont absol­u­ment éloignés de nous, et chaque jour moins ce que nous sommes, voulons, pensons.