Que pou­vaient bien nous vouloir ces maîtres qui nous tenaient assis à nos pupitres? Je m’é­tonne ain­si de la joie qu’éprou­vent Aplo et Luv a vivre et racon­ter l’é­cole. Pour moi, tout se déroulait autour de l’é­cole, une fois franchie la clô­ture et ramené en car dans mon quarti­er, ma mai­son, ma cham­bre, ma rue. L’ap­proche de l’élève serait-elle dev­enue cares­sante alors qu’elle n’é­tait que car­can et obéissance?