Ce jardin sauvage, en fait une combe d’herbe entourée de pommiers, près de Faoug. Je passais à sa portée pendant les mois où je gardais les vaches et j’enviais du haut du tracteur ceux qui pouvaient s’y reposer (il n’y avait personne). En fin de compte, retournant à la ville, sans m’y être attardé.