Pas de con­ver­sa­tion sur la France sans qu’aus­sitôt le prési­dent soit la cible d’anathèmes. Je le crois élu dans ce but, exclu­sive­ment. L’électeur se défausse. Le prési­dent, bête de con­cours, se tar­gue d’en­doss­er les respon­s­abil­ités, toutes les respon­s­abil­ités et cha­cun marche, à la cri­tique, dans une direc­tion inconnue.