Ce qu’on appelle “action” et dont la syn­thèse est déclin­able sous la forme de “principe” au sens moral de ce terme — “j’ai des principes et c’est pourquoi j’a­gi­rai de telle sorte que…” — n’est qu’une réac­tion face à la sit­u­a­tion, en fait la série des mou­ve­ments néces­saires à la préser­va­tion, dans cette sit­u­a­tion, de notre posi­tion rel­a­tive. C’est après-coup, afin de jus­ti­fi­ca­tion per­son­nelle, qu’on énonce cette action sous la forme d’un principe.