Repris pour la cinquième année L’été de Btorlgue, texte que je veux dérisoire et même comique . Eh bien il me pèse. J’ai de la peine. C’est un mur. Et quand je dis reprendre, c’est trop: il me suffirait de corriger. Je n’y arrive pas. Est-ce parce que la matière a été tant de fois brassée? Cet après-midi, le front en sueur, j’ai abandonné. Le voir achevé me plairait. Au tiroir s’il le faut mais achevé. C’est peut-être le problème. Il est derrière moi. Cinq ans… Pourtant, on ne peut décider de façon sûre qu’il ne trouverait pas son lecteur. En même temps j’ accorde “qu’on peut en dire en principe qu’un texte écrit avec enthousiasme communiquera au lecteur quelque chose de cet enthousisame.”