Con­fu­sion entre le beau et le joli. Elle cor­re­spond à des péri­odes d’er­re­ment de la morale. Là où le bien-être tasse la demande morale, le joli rem­place avan­tageuse­ment le beau. A l’in­verse, dans les moments où la lib­erté sociale est déniée, la beauté créée utile­ment une lib­erté intérieure.