Aujour­d’hui je me sou­viens du sen­ti­ment éprou­vé à douze ans pour une écol­ière de mon âge. Je me sou­viens de ses cheveux, de sa façon, de ce qu’elle dis­ait, était, m’in­spi­rait. Je m’en sou­viens parce que, ne por­tant pas ma main sur elle, je n’ai pas exténué mon imagination.