En mil­i­tant pour l’op­ti­misme, on trahit son désar­roi et on prou­ve son courage. L’artiste qui pose le pes­simisme en principe, sauf à suc­comber, en dis­serte avec joie. Cer­tains suc­combent: au bout de quelques livres, faute de pra­ti­quer le cynisme, le souf­fle manque et ils étouffent.