Mois : janvier 2009

La soli­tude deviendrait alors un exer­ci­ce oblig­a­toire a rai­son de quelques semaines chaque année.

Regarde devant toi, il n’y a rien à voir sur les côtés.

Le bâti­ment avait sa porte en hau­teur de sorte que nul ne pou­vait dire ce qui s’y pas­sait. Par­fois la porte s’ou­vrait et quelqu’un parais­sait, mais le temps qu’on revi­enne avec des jumelles, la porte s’é­tait refermée.

Un lecteur sur­pris par un livre voudra être sur­pris par les livres con­sé­cu­tifs de l’au­teur, sur­pris de la même façon.

L’en­vie de tout faire, anci­enne, tou­jours man­i­feste et qui se traduit dans des poussée de fièvre aus­sitôt sanc­tion­nées de nos­tal­gie. La rai­son tranche: tout, on ne peut pas. Mais voici du neuf: désor­mais quelque chose me dit, “rien que j’aime vrai­ment faire.”

Vous pou­vez “accepter” ou “refuser” quelque chose que vous n’avez pas choisi.

Elle demande si ça va aller. Deux jours qu’elle demande.

La sit­u­a­tion matérielle de l’écrivain, sou­vent déplorable: table ban­cale, lumière pau­vre, bruits de pas à l’é­tage, musique en coulisse, mal de dos.

Ferme con­stru­ite à l’é­cart qui per­met aux hommes d’a­gir loin de la vue du village.

Mon­tagnes fortes et blanch­es que le soleil frappe. Hommes obscurs et petits sur la pente.